Par ces temps de grisaille et de froid on rêverait d’un peu de chaleur et d’un coin de ciel bleu.
Les théiers ne sont pas comme vous, ils apprécient un temps un peu brumeux, s’épanouissent entourés d’un halo d’humidité. Quand l’air est frais et que l’on n’y voit pas à cinq mètres ils sont aux anges. Un ciel bleu ne se rencontre donc pas facilement au-dessus de leur tête.
Cet azur éclatant, ce ciel d’une limpidité rare, je l’ai surpris à Thiashola, dans les monts Nilgiris (Inde).