Avec le froid que vous affrontez en France en ce moment il faut penser à vous réchauffer. Avoir toujours sous la main une bouilloire remplie d’eau fraîche, par exemple, une bouilloire qui chante et dont le chant précisément vous réchauffe à la fois le cœur et l’âme.
Un chant comme un appel au thé.
En Inde, il se trouve partout des marchands de thé installés à même la rue, ou bien au bord d’une route. Munis d’une bouilloire qui ronronne au-dessus parfois de simples charbons de bois, ils ne chôment pas tant ils sont populaires. Sur les routes de l’Himalaya, un simple coin de rocher peut faire l’affaire. On s’accroupit alors à côté du marchand ambulant et on prend le temps de déguster le mélange de thé, de lait et d’épices servi brûlant. On prend tout simplement le temps de se faire du bien.
Merci pour cet article 🙂
Je trouve la photo très intéressante avec le fond de votre blog. En effet on voit une main tendue, alors que votre bras droit est caché par le blog. C’est comme si la main qui sert le thé, était le prolongement du votre. C’est une belle illusion
Merci de nous faire partager de très beaux articles sur le thé, qui nous font voyager.
Kevin
Les mains serréescontre ces petits bols en terre – qui se font rares hélas en Inde, trop souvent remplacés maintenant par des gobelets en plastique trop mous pour être enlacés…- et le nez sur la fuméee odorante, c’est le premier des plaisirs du thé indien de rue…
Merci du partage François-Xavier ! Et vous, appréciez-vous les « tchaï » ?
Les thés en sachets que je récupère servent parfois à faire cela.
Mes amithéiers,
Didier
Ca donne envie d’un bon thé chaï (que je fais avec le Chaï Palais des Thés d’ailleurs)!
En effet je n’avais pas constaté de suite, ce que dit Kevin par rapport au bras 🙂
Tu as raison, Anne, et je fuis ces marchands ambulants qui vous servent dans des gobelets en plastique si fin qu’il semble qu’ils deviennent mous et ont commencé à fondre sitôt le chaï versé…
Jolie idée que cette main qui prolonge mon bras, je ne l’avais pas remarqué…
Oui, lorsque je suis suis en Inde, cela me plait de déguster différents chaï. D’un marchand ambulant à l’autre le dosage des épices diffère. Découverte gustative permanente, donc.