A force de récolter ses feuilles, le théier ne grandit pas et son tronc s’épaissit. Un champ de thé ressemble ainsi à une forêt de bonsaïs. Mais si on les laissait pousser, Camelia Sinensis ou Camelia Assamica pourraient atteindre plusieurs mètres de hauteur. Voici Rudra Sharma, planteur de Poobong, en Inde, devant l’un de ses théiers sauvages.