Après Darjeeling, c’est au tour du Népal, de la Chine et du Japon de nous régaler de leur tout nouveaux crus de Printemps. Au Japon, on s’attache aux fermiers que l’on connaît et l’on est heureux de découvrir le travail de certains autres. En Chine, les appellations traditionnelles, attachées à un village, nous guident. Au Népal, on connaît le nom des plantations qui sont capables de produire, à certains moments de l’année, les meilleurs thés. Seulement une difficulté particulière s’ajoute parfois, comme ici à Kuwapani. Le planteur, qui est salarié et non pas propriétaire de la plantation, est parti. Que va donner le travail de celui qui va le remplacer ? Réponse dans plusieurs mois, en attendant, dégustons joyeusement les nouveaux crus que ce printemps nous offre !
Au printemps succède le printemps
20 mai 2016