Au Kenya, certaines plantations se situent à près de 2.000 mètres. A cette altitude, les insectes ou bien les champignons susceptibles de s’attaquer au théier sont particulièrement rares. Cela est dû aux basses températures. Il est donc plus facile, dans ces conditions, de produire un thé de façon organique. Reste alors, pour être certifié “Bio” (en plus du fait de ne pas utiliser les pesticides ou fongicides interdits), à ce que la terre soit enrichie de façon naturelle, avec du compost, par exemple.
L’altitude, une alliée de choix
13 juillet 2016
Bio bien-sûr.
Après le dernier post empreint de profondeur, j’hume celui-ci. Au sortir de « Dans les profondeurs de Sibérie » avec la sublime trompette d’Ibrahim Maalouf. Un thé sur le lac Baïkal…