En toute chose il importe de rechercher le positif. Si l’on examine la situation incroyable que l’on vit tandis que sévit ce virus, on peut apercevoir, au milieu de tant d’effets négatifs, voire particulièrement douloureux lorsqu’il s’agit de la perte d’êtres chers, de rares mais inestimables effets positifs. Quels sont-ils ? Des gens qui se mettent à prendre soin les uns des autres, une solidarité exemplaire, des manifestations d’empathie multiples, spontanées, des professions dont on découvre tout à coup à quel point elles sont essentielles. Du temps libre, du temps pour faire autre chose que de consommer, du temps pour prendre conscience de ce qui nous est cher, de ce qui nous est essentiel, du temps pour apprendre sur nous-mêmes et sur ce que cela signifie que de vivre. Et, au-dessus de nos têtes, un air qui n’a jamais été aussi pur, une qualité de silence rare, des chants d’oiseaux mélodieux jusqu’au centre des villes..
Et si nous retirions quelque chose de cet épisode et essayions de préserver ces bienfaits au-delà du confinement ?
Tout a fait d’accord. Je crains, cependant, que les « bonnes habitudes » et les effets positifs du confinement ne soient très vite balayés par un retour à une vie frénétique… alors en attendant, savourons une tasse de thé fumant, en plein conscience, entourés du chant ds oiseaux.
Ces mots du Mahatma Gandhi : » Soi toi- même le changement que tu veux voir dans le monde » ~ » notre part de colibri » P.R.
Puissiez-vous être entendu.