L’épouvantable pandémie qui frappe l’Inde et épargnera le Népal, je l’espère, me rappelle, s’il en était besoin, à quel point je tiens à mes amis indiens. Ils sont trop nombreux pour être cités, à Darjeeling, Kolkata ou ailleurs. Parmi eux, mon ami Anil Darmapalan que j’ai connu il y a plus de 20 ans lorsqu’il dirigeait la plantation de Thiashola et m’avait reçu avec sa femme Sharmila, et tout le personnel de la plantation, avec la plus extrême gentillesse.
Après avoir été auditeur auprès d’un organisme certificateur et donc particulièrement au fait de toutes les problématiques liées à la conversion d’une plantation de conventionnel en bio dynamique, Anil vit aujourd’hui du côté de Ooty (Tamil Nadu), au milieu des fleurs. A Sharmila et Anil, comme à tous mes amis indiens, je souhaite de prendre bien soin d’eux.