A l’époque des Soviets, la Géorgie produisait beaucoup de thé pour toute l’URSS. Seulement, à l’heure de son indépendance, après le retrait des troupes, il ne restait plus rien des moyens de production, sinon des bâtiments déserts.
En l’espace de quelques années, on est passé de 152.000 tonnes de thé produit par an à seulement 1.800 tonnes. Depuis 2016, la culture du thé est remise au goût du jour par le gouvernement géorgien, qui encourage des petits producteurs à s’installer, à produire du thé de qualité, à embaucher, dans le but de contribuer à lutter contre l’exode rural.