Je ne suis pas le seul aujourd’hui à exercer le métier de chercheur de thé. Léo part lui aussi à la recherche des thés rares et depuis plus de cinq années nous travaillons ensemble, c’est-à-dire que nous dégustons tous les échantillons qui arrivent, nous entretenons des relations étroites avec les fermiers que nous essayons par ailleurs de mettre en valeur et aussi d’aider quand ils en ont besoin. Et nous formons le plus de collègues possibles afin que leur connaissance du thé progresse. Cela passe, là aussi, par de nombreuses dégustations et par tous les récits de voyages possibles et imaginables, entre autres expériences gastronomiques. Deux chercheurs de thé en France, c’est peu, mais nul doute que ce métier a de l’avenir au vu de l’engouement actuel des Français pour le thé de qualité.
Comment devient-on chercheur de thé ? à suivre…