Aujourd’hui je vous emmène sur les pentes du Mont-Kenya. A près de 2.000 mètres d’altitude, on y cultive un thé noir assez charpenté, aromatique. D’une plantation à l’autre, la qualité varie. L’un des plus fameux centres de recherche sur le thé s’y trouve, une chance pour les fermiers alentour qui vont pouvoir disposer de conseils judicieux et conformes aux normes de l’agriculture biologique, ici très répandue.
L’alignement de poteaux blancs sur lesquels est inscrit le nom du cultivar donne à cette parcelle l’allure d’un mémorial. Une belle façon d’enterrer notre confinement.