Lorsque je visite une plantation, lorsque je me rends chez un producteur, bien sûr je vais passer du temps à déguster du thé. Mais je vais m’intéresser également aux conditions de la culture. Je vais chercher à comprendre si le thé est produit proprement, si l’on respecte la nature. Pour moi, aimer le thé c’est aussi aimer le sol sur lequel il pousse. Le thé que je bois, le thé qui me fait du bien, je veux qu’il ne fasse de mal ni à la terre, ni à ceux qui la cultivent. C’est pourquoi je visite aussi les dispensaires, les crèches et, bien sûr, les écoles.
Aimer le thé, c’est aussi aimer le monde
1 août 2014